WORLD IMPACT SUMMIT 2024
WIS BORDEAUX 2024
6ème édition du sommet devenu incontournable.
Le World Impact Summit 2024 marque le passage de cet évènement vers une nouvelle ère. Les équipes de Nicolas PEREIRA et de Yves JEGO n’ont pas démérité pour offrir, lors de cet évènement, une vraie richesse de propositions éclectiques, innovantes, incluantes, vivifiantes et avant tout résolument tournées vers un avenir assumé et heureux.
Un par terre de personnalités de premier ordre
Comme chaque année, nombre de personnalités du monde de l’entreprise allant du patron de start-up au président du MEDEF, entrecoupé des figures du monde politique local, régional, national ont pris la parole aux diverses conférences.
Cette année, le volet international du WIS a ouvert la porte à une personnalité de premier ordre, en la présence de Me HILLARY CLINTON.
il est à noter que la marraine de ce rendez-vous était l’ethnologue et anthropologue, JANE GOODALL, ouvrant ainsi les débats sur les peuples autochtones et les intrications et impacts de nos sociétés sur leurs écosystèmes.
Une année sous la lumière des femmes
Le deuxième jour de l’évènement tombait sur la date anniversaire de la journée internationale du droit des femmes.
Il était donc une évidence de placer la parole des femmes au centre de ce sommet.
Politiques, chercheuses, développeuses de concepts innovants, militantes, simples éco-citoyennes, de toutes les initiatives, Tchacc a constaté qu’elles portent haut la parole du respect de notre planète.
De la tech la plus pointue, au simple geste du quotidien, ce sommet nous a démontré que la réelle prise de conscience d’un changement de paradigme est en route.
Concevoir notre espace de vie humaine, avec comme principe de base, le respect premier de notre environnement n’est plus à démontrer.
Ce qui est marquant, ce sont les voix qui présentent cet état de faits, les positionnant plutôt comme une chance pour créer, se renouveler, redistribuer notre place au sein de ce grand tout.
Jean Louis BORLOO relevait, lors de son intervention, qu’il n’est pas anxiogène d’imaginer ou rêver notre avenir, lorsque l’on constate au fil des stands, toutes ces énergies positives et tous les sourires associés.
Les femmes sont en général les premières à pâtir des impacts climatiques dans leurs vies quotidiennes.
Qui porte le plus le poids de nos actes ?
Une immense partie d’entre elles sur notre planète, sont encore dévouées à gérer les taches domestiques les plus ingrates; comme notamment, aller simplement chercher de l’eau, et cela des fois à des kilomètres. Elles, qui portent et donnent la vie, sont surement bien placées pour nous indiquer comment agir pour la préserver au mieux. Savoir et réellement constater que leurs voix portent de plus en plus à tous les niveaux, est un puissant réconfort et une source d’espoir.
Cette présence feminine massive tout au long de ces deux jours rassure forcément.
Elles sont, de ce combat militant, de ce geste d’aide simple, de cette loi qui change une constitution, des regards éclairants aux mots puissants, portant le drapeau du respect pour un monde meilleur avec une immense fierté et bravoure.
L’éco-anxiété est pourtant là, les bras en l’air nombreux à la question posée lors d’un plateau :
-« êtes vous inquiète pour l’avenir ? ».
Redonnons confiance aux femmes en l’avenir, c’est nous redonner l’espoir en la vie sous toutes ses formes.
Tchacc a vu des énergies qui se mobilisent non pas pour détruire, mais bien pour préserver, vivre, construire, élever, s’élever ensemble, chercher, résoudre, répondre aux mieux, proposer parfois des voix différentes, mais avant tout laisser la place à ceux qui disent le contraire.
Il revient ses derniers temps de parler de non démocratie de certains états, n’oubliant alors jamais, que les êtres vivants non humains, eux n’ont jamais déterminé pour nous une dictature, bien au contraire.
Apprenons de ces équilibres à défaut de périr dans un semblant de décisions cupides, nous faisant rêver tels des Icare, pour finalement oublier l’essentiel : – seuls nous sommes rien. Sans eux, l’humain ne survivra pas. Ils ont un droit de parole sur nos actes qui devrait être pris en compte dans toutes nos décisions, ou du moins, nous devrions nous sentir leurs obligés en agissant comme tel. Il en va de notre bien moral et de ce que l’on met derrière les mots : respect de l’environnement.
Sourires à profusion :
Tchacc repart ce moment suspendu, avec une farandole de rires, du soleils sur des visages, des étoiles pétillantes au fond des yeux.
Yves JEGO convenait que vouloir changer les choses est une chance et il faut le voir comme une joie. Ces énergies sont un moteur puissant à accompagner avec bienveillance, car c’est l’avenir que l’on regarde avec déterminisme et sans fatalisme.
Il est rare de trouver interessant de considérer, que la récurrence d’un tel rendez-vous, relève d’une joie assouvie. Pourtant, Tchacc est déjà impatient de découvrir à nouveau, la cession de l’an prochain avec ces nouvelles avancées, qui nous permettront de nous réconcilier toujours un peu plus , dans une profonde gratitude partagée, avec notre seule maison à tous.
« La terre ne nous appartient pas, nous l’empruntons à nos enfants ».
– Proverbe amérindien
WIS BORDEAUX 2024
6th edition of the summit which has become unmissable.
The World Impact Summit 2024 marks the transition of this event to a new era. The teams of Nicolas PEREIRA and Yves JEGO did not hesitate to offer, during this event, a real wealth of eclectic, innovative, inclusive, invigorating proposals and above all resolutely oriented towards an assumed and happy future.
A floor of first-rate personalities
Like every year, a number of personalities from the business world ranging from start-up bosses to the president of MEDEF, interspersed with figures from the local, regional and national political world, spoke at the various conferences.
This year, the international section of the WIS opened the door to a first-rate personality, in the presence of Me HILLARY CLINTON.
It should be noted that the sponsor of this meeting was the ethnologist and anthropologist, JANE GOODALL, thus opening debates on indigenous peoples and the entanglements and impacts of our societies on their ecosystems.
A year in the light of women
The second day of the event fell on the anniversary of International Women’s Day.
It was therefore obvious to place women’s voices at the center of this summit.
Politicians, researchers, developers of innovative concepts, activists, simple eco-citizens, of all the initiatives, Tchacc has noted that they speak loudly of respect for our planet.
From the most cutting-edge technology to simple everyday gestures, this summit has shown us that real awareness of a paradigm shift is underway.
Designing our human living space, with primary respect for our environment as a basic principle, no longer needs to be demonstrated.
What is striking are the voices which present this state of affairs, positioning them rather as an opportunity to create, renew ourselves, redistribute our place within this great whole.
Jean Louis BORLOO noted, during his intervention, that it is not anxiety-provoking to imagine or dream of our future, when we see throughout the stands, all these positive energies and all the associated smiles.
Women are generally the first to suffer from climate impacts in their daily lives.
Who bears the most weight of our actions?
A huge part of them on our planet are still dedicated to managing the most thankless domestic tasks; such as simply going to get water, sometimes from miles away. They, who carry and give life, are surely well placed to tell us how to act to best preserve it. Knowing and truly seeing that their voices are increasingly heard at all levels is a powerful comfort and a source of hope.
This massive female presence throughout these two days is necessarily reassuring.
They are, from this militant fight, from this simple gesture of help, from this law which changes a constitution, from enlightening looks to powerful words, carrying the flag of respect for a better world with immense pride and bravery.
Eco-anxiety is nevertheless there, with many arms in the air when the question is asked during a set:
- “Are you worried about the future?”
Restoring women’s confidence in the future gives us hope in life in all its forms.
Tchacc saw energies that mobilize not to destroy, but to preserve, live, build, elevate, rise together, seek, resolve, respond to the best, sometimes offer different voices but above all leave room for those who say the opposite.
It has recently come back to speak of the non-democracy of certain states, never forgetting that non-human living beings never determine a dictatorship for us, quite the contrary.
Let us learn from these balances if we do not perish in a semblance of greedy freedom, making ourselves dream like Icarus, to finally forget the essential: – alone we are nothing. Without them, humans will not survive. They have a right to speak on our actions which should be taken into account in all our decisions, or at least we should feel obliged to them by acting as such. It is about our moral good and what we put behind the words: respect for the environment.
Smiles galore:
Tchacc leaves this suspended moment, with a farandole of laughter, of suns on faces, of sparkling stars in the background of lots of crossed glances.
Yves JEGO agreed that wanting to change things is an opportunity and should be seen as a joy. These energies are a powerful engine to be accompanied with kindness because it is the future that we look at with determinism and without fatalism.
It is rare to find it interesting to consider that the recurrence of such an appointment is a matter of satisfied joy. However, Tchacc is already impatient to discover again, next year’s transfer with these new advances, which will allow us to reconcile a little more, in a deep shared gratitude, with the only home we all have.
“The land does not belong to us, we borrow it from our children.”
Native American Proverb
WIS BORDEAUX 2024
Sexta edición de la cumbre que se ha vuelto ineludible.
La Cumbre Mundial de Impacto 2024 marca la transición de este evento a una nueva era. Los equipos de Nicolas PEREIRA e Yves JEGO no dudaron en ofrecer, durante este evento, un verdadero tesoro de propuestas eclécticas, innovadoras, inclusivas, estimulantes y, sobre todo, decididamente orientadas hacia un futuro asumido y feliz.
Un piso de personalidades de primer nivel
Como cada año, en las distintas conferencias intervinieron numerosas personalidades del mundo empresarial, desde los jefes de startups hasta el presidente de MEDEF, intercalados con personalidades del mundo político local, regional y nacional.
Este año, la sección internacional del WIS abrió la puerta a una personalidad de primer nivel, en presencia de Yo HILLARY CLINTON.
Cabe señalar que la patrocinadora de este encuentro fue la etnóloga y antropóloga, JANE GOODALL, abriendo así debates sobre los pueblos indígenas y los entrelazamientos e impactos de nuestras sociedades en sus ecosistemas.
Un año a la luz de las mujeres
El segundo día del evento coincidió con el aniversario del Día Internacional de la Mujer.
Por lo tanto, era obvio colocar las voces de las mujeres en el centro de esta cumbre.
Políticos, investigadores, creadores de conceptos innovadores, activistas, simples ecociudadanos, entre todas las iniciativas, Tchacc señaló que hablan alto del respeto por nuestro planeta.
Desde la tecnología más avanzada hasta los simples gestos cotidianos, esta cumbre nos ha demostrado que se está produciendo una conciencia real de un cambio de paradigma.
Ya no es necesario demostrar el diseño de nuestro espacio vital humano, teniendo como principio básico el respeto primordial por nuestro medio ambiente.
Lo que llama la atención son las voces que presentan este estado de cosas, posicionándolas más bien como una oportunidad para crear, renovarnos y redistribuir nuestro lugar dentro de este gran todo.
Jean Louis BORLOO destacó, durante su intervención, que no produce ansiedad imaginar o soñar con nuestro futuro, cuando vemos en las gradas todas estas energías positivas y todas las sonrisas asociadas.
Las mujeres son generalmente las primeras en sufrir los impactos climáticos en su vida diaria.
¿Quién soporta el mayor peso de nuestras acciones?
Una enorme parte de ellos en nuestro planeta todavía se dedican a gestionar las tareas domésticas más ingratas; como simplemente ir a buscar agua, a veces desde kilómetros de distancia. Ellos, que sostienen y dan vida, seguramente están en buena posición para decirnos cómo actuar para preservarla mejor. Saber y ver verdaderamente que sus voces se escuchan cada vez más en todos los niveles es un poderoso consuelo y una fuente de esperanza.
Esta masiva presencia femenina a lo largo de estos dos días es necesariamente tranquilizadora.
Ellos son, desde esta lucha militante, desde este simple gesto de ayuda, desde esta ley que cambia una constitución, desde las miradas esclarecedoras hasta las palabras poderosas, llevando la bandera del respeto por un mundo mejor con inmenso orgullo y valentía.
Sin embargo, la ecoansiedad está ahí, con muchos brazos en alto cuando se hace la pregunta durante un set:
- “¿Estás preocupado por el futuro?”
Restaurar la confianza de las mujeres en el futuro nos da esperanza en la vida en todas sus formas.
Tchacc vio energías que se movilizan no para destruir, sino para preservar, vivir, construir, elevar, levantarse juntos, buscar, resolver, responder a lo mejor, ofrecer a veces voces diferentes pero sobre todo dejar espacio a quienes dicen lo contrario.
Recientemente se ha vuelto a hablar de la no democracia de ciertos Estados, sin olvidar nunca que los seres vivos no humanos nunca determinan para nosotros una dictadura, sino todo lo contrario.
Aprendamos de estos equilibrios si no perecemos en una apariencia de libertad codiciosa, haciéndonos soñar como Ícaro, para olvidar finalmente lo esencial: – solos no somos nada. Sin ellos, los humanos no sobrevivirán. Tienen derecho a hablar sobre nuestras acciones, que deben tenerse en cuenta en todas nuestras decisiones, o al menos deberíamos sentirnos obligados ante ellos al actuar como tales. Se trata de nuestro bien moral y de lo que ponemos detrás de las palabras: respeto al medio ambiente.
Sonrisas en abundancia:
Tchacc abandona este momento suspendido, con una farándula de risas, de soles en los rostros, de estrellas centelleantes al fondo de muchas miradas cruzadas.
Yves JEGO coincidió en que querer cambiar las cosas es una oportunidad y debe verse como una alegría. Estas energías son un potente motor que hay que acompañar con bondad porque es el futuro el que miramos con determinismo y sin fatalismo.
Es raro que resulte interesante considerar que la recurrencia de tal nombramiento es motivo de alegría satisfecha. Sin embargo, Tchacc ya está impaciente por volver a descubrir el traslado del año que viene con estos nuevos avances, que nos permitirán reconciliarnos un poco más, en un profundo agradecimiento compartido, con el único hogar que todos tenemos.
« La tierra no nos pertenece, se la pedimos prestada a nuestros hijos ».
Proverbio nativo americano