SUNBÖRN, mets du soleil sous tes pieds
SUNBÖRN, un croisement élégant et raffiné de Jazz et de notes Afros.
L’été approche. Dur est le choix de la bande son de nos soirées sous les étoiles , allongé dans un hamac ou juste attablé avec des amis. Un moment solitaire de détente, ou un autre accompagné de rires avec une lumière aux reflets dorés d’un couchant irisant, est selon nous un espace propice à lancer sur votre lecteur cet album.
Avoir pour philosophie de recoudre les âmes humaines, est une démarche que nous devrions tous avoir nous disent les membres de SUNBÖRN. Nous, tous identiques au fond, alors autant faire unité et quoi de mieux que de passer par ce langage universel qu’est le son.
Cet album est une ode à l’harmonie, une inspiration suivie d’une expiration, un pas puis un autre, un voyage vers soi et vers les autres.
La tonalité africaine dans ce jazz fusion donne ce coté radieux et léger. Il puise au fond de nos sensations cet élan qui nous pousse à lever les yeux vers le ciel; lever les bras et danser avec un sourire éclatant.
En tant qu’instrumentistes, Sunbörn se considère comme des conteurs à travers des mélodies, et cette chanson ne fait pas exception. Le titre représente des réflexions sur la vie – chemin rapide d’une introspection menant vers des choix futurs plus radieux.
La production de la chanson a été inspirée par les sons des années 80 – beaucoup de refrains, d’échos et de gros synthétiseurs audacieux – des artistes comme The Police, Pink Floyd et le compositeur de la bande originale de Bladerunner Vangelis.
La titre s’ouvre en grand dans la partie b : avec un changement de tonalité brusque, tout mouvement est arrêté et de puissants sons de clavier sont introduits alors que deux saxophones alto gémissent à l’unisson.
Il capture à la fois l’intime et l’expansif et est un hommage à la riche complexité de l’expérience humaine et à la manière dont elle façonne notre identité.
Le changement de nom de Sunbörn est le résultat direct de leur désir de pousser dans de nouvelles directions et de conquérir la scène musicale mondiale pour de vrai.
Leur premier album éponyme semble sur le point de faire exactement cela !
Cet album est à nos yeux un des incontournables pour cet été qui pointe son nez. Laissons nous aller à danser avec une joie totale sur ses airs aux sonorités africaines.
« Je vis comme un primitif, avec un coeur d’enfant et une soif inextinguible pour les bémols et les dièses. Plus ils sont consonnants, plus je m’en régale. »
Duke Ellington in Music is my Mistress, Doubleday, New-York, 1973
SUNBÖRN, an elegant and refined cross of Jazz and Afro notes.
Summer is comming. Hard is the choice of the soundtrack of our evenings under the stars, lying in a hammock or just sitting at a table with friends. A solitary moment of relaxation, or another accompanied by laughter with a light with golden reflections of an iridescent sunset, is in our opinion a favorable space to launch this album on your reader.
Having a philosophy of stitching up human souls is something we should all have, say the members of SUNBÖRN. We, all basically identical, so might as well unite and what better than to go through this universal language that is sound.
This album is an ode to harmony, an inspiration followed by an expiration, one step then another, a journey towards oneself and towards others.
The African tone in this jazz fusion gives this radiant and light side. It draws from the depths of our sensations this impetus which pushes us to raise our eyes to the sky; raise your arms and dance with a bright smile.
As instrumentalists, Sunbörn consider themselves storytellers through melodies, and this song is no exception. The title represents reflections on life – a fast path of introspection leading to brighter future choices.
The song’s production was inspired by the sounds of the 80s – lots of choruses, echoes and big, bold synthesizers – from artists like The Police, Pink Floyd and Bladerunner soundtrack composer Vangelis.
The title opens wide in part b: with an abrupt change in key, all movement is stopped and powerful keyboard sounds are introduced as two alto saxophones groan in unison.
It captures both the intimate and the expansive and is a tribute to the rich complexity of human experience and how it shapes our identity.
Sunbörn’s name change is a direct result of their desire to push in new directions and conquer the global music scene for real.
Their self-titled debut album seems set to do just that!
This album is in our eyes one of the must-haves for this summer that is coming its way. Let us dance with total joy to his African-sounding tunes.
« I live like a primitive, with a child’s heart and an unquenchable thirst for flats and sharps. The more consonant they are, the more I enjoy them. »
Duke Ellington in Music is my Mistress, Doubleday, New-York, 1973
SUNBÖRN, un cruce elegante y refinado de notas Jazz y Afro.
Se acerca el verano. Difícil es la elección de la banda sonora de nuestras veladas bajo las estrellas, tumbados en una hamaca o simplemente sentados en una mesa con amigos. Un momento solitario de relajación, u otro acompañado de risas con una luz con reflejos dorados de un atardecer iridiscente, es a nuestro juicio un espacio propicio para lanzar este álbum a su lector.
Tener una filosofía de coser almas humanas es algo que todos deberíamos tener, dicen los miembros de SUNBÖRN. Nosotros, todos básicamente idénticos, también podemos unirnos y qué mejor que transitar por este lenguaje universal que es el sonido.
Este álbum es una oda a la armonía, una inspiración seguida de una expiración, un paso y luego otro, un viaje hacia uno mismo y hacia los demás.
El tono africano en esta fusión de jazz le da ese lado radiante y ligero. Saca del fondo de nuestras sensaciones ese ímpetu que nos empuja a levantar la mirada al cielo; levanta los brazos y baila con una sonrisa brillante.
Como instrumentistas, los Sunbörn se consideran narradores de historias a través de las melodías, y esta canción no es la excepción. El título representa reflexiones sobre la vida: un camino rápido de introspección que conduce a elecciones futuras más brillantes.
La producción de la canción se inspiró en los sonidos de los 80 (muchos coros, ecos y grandes y audaces sintetizadores) de artistas como The Police, Pink Floyd y el compositor de bandas sonoras de Bladerunner, Vangelis.
El título se abre de par en par en la parte b: con un cambio abrupto de clave, se detiene todo movimiento y se introducen poderosos sonidos de teclado mientras dos saxofones altos gimen al unísono.
Captura tanto lo íntimo como lo expansivo y es un tributo a la rica complejidad de la experiencia humana y cómo da forma a nuestra identidad.
El cambio de nombre de Sunbörn es el resultado directo de su deseo de avanzar en nuevas direcciones y conquistar la escena musical mundial de verdad.
¡Su álbum debut homónimo parece estar listo para hacer precisamente eso!
Este disco es a nuestros ojos uno de los imprescindibles para este verano que se avecina. Bailemos con total alegría al son de sus melodías africanas.
« Vivo como un primitivo, con corazón de niño y una sed insaciable de bemoles y sostenidos. Cuanto más consonantes son, más los disfruto ».
Duke Ellington in Music is my Mistress, Doubleday, New-York, 1973